Design Parade Toulon 2021
Design Parade Toulon 2021 est le 5ème festival d’architecture d’intérieur. Chaque année, en début d’été, on fête ce festival. Un concours d’architecture d’intérieur. 10 jeunes designers exposent à Toulon et à la Villa Noailles à Hyères jusqu’a fin Octobre. Le festival est fondé et dirigé par Jean-Pierre Blanc. La Design Parade permet de partager la création contemporaine dans le domaine du design.
Folle envie, pool bar intérieur – Clémence Plumelet & Geoffrey Pascal
Envie d’y plonger? Design Parade Toulon 2021 présente un pool bar d’intérieur coloré avec un mobilier de salon houssé d’éponge moelleuse, des courbes reflétant une piscine, et des meubles gonflables aux rayures jaunes et blanches. Une atmosphère reposante sur la French Riviera.
Le dernier repas, salle à manger – Capucine Guhur
Le déambulatoire, espace méditatif – Llewellyn Chupin
Mirage, terrasse intérieure – Marc-Antoine Biehler & Amaury Graveleine
L’art et la matière. Une pièce d’une villa méditerranéenne. La salle à manger avec une grande table coupée à même la roche. Des chaises aux épurées, pareilles à des trônes, apportent une certaine majesté à la scène.
Une promenade qui invite à la méditation et invite à la réflexion, à la contemplation, dans une circulation pleine de douceur et de poésie autour d’une fontaine centrale, rythmée par diverses reliques. Mur en pierre calcaire, couleurs pures et minérales.
« Mirage », cette terrasse définie par un parasol jaune soleil XXL et une table en marqueterie de noyaux d’olive est une invitation explicite à la convivialité de l’apéritif. Entrer sur cette terrasse, les pieds dans le sable. Un moment de détente confirmé.
Le noctambule, bureau-bibliothèque – Guillaume fabbri & Andréa Techer
Design Parade Toulon 2021 met en avant le projet de Guillaume et Andréa. Cette scénographie s’inspire de la nuit, du temps qui passe, de l’éloignement, la solitude et le silence. « Le noctambule » est un voyage en mer, dans une nuit brumeuse indéfinie dans l’espace. D’une part, c’est un espace intime où l’on peut s’isoler, et d’autre part, c’est un espace de déambulation où l’on suit le sillage d’un navire englouti par l’immensité et l’étendu de la mer.
Une pièce habitée par le vent. Cette dernière permet un moment personnel au milieu d’une pratique sociale du quotidien, hors des échanges, de la lumière et de la chaleur si dense.
A Benidor, chambre de repos – Edgar Jayet & Victor Fleury